La journée particulière des 120 ans de SUPMICROTECH-ENSMM (par un ancien élève ou encore appelé chrono, diplômé voici près de 40 ans)

Sans prise de notes particulières lors de cette journée anniversaire des 120 ans de l’ENSMM, je viens vous restituer quelles ont été mes sensations au travers de ces festivités.
De 9h du matin jusqu’à plus de minuit, ce sont de multiples moments intenses dont j’ai avant tout pleinement profités.
Déjà, en arrivant, le ton était donné, avec la distribution d’un badge et de quelques accessoires de bienvenue. Ensuite nous attendait un buffet très fourni avec de nombreuses viennoiseries locales. Comme je n’avais pas encore pris mon petit déjeuner, je me suis régalé.
Les premières têtes connues apparaissaient. Pascal VAIRAC, le directeur, venait me saluer. Et puis on se retrouvait avec les personnalités, la maire de BESANCON Anne VIGNOT, la présidente de région Marie-Guite DUFAY, des représentants du département et du préfet accompagnant Pascal VAIRAC. On sentait que l’instant était important. Des discours, j’ai retenu l’expression de la présidente de région disant que « L’ENSMM c’est connu, mais SUPMICROTECH, cela pète vraiment ».
Toutes les conférences répondaient bien aux attentes de notre époque et aussi à ce que l’école pouvait leur apporter: toutes centrées sur les microtechniques, elles concernaient plus précisément l’horlogerie et dans le luxe, les transports et en particulier l’aérospatiale et l’aéronautique, le biomédical et encore la transition écologique. Difficile de choisir entre toutes, mais on a toujours ses propres centres d’intérêts. Pour ma part, je choisissais de participer à celle de la transition écologique. La qualité des intervenants était indéniable et la possibilité de poser des questions donnaient la touche finale. Dans l’une d’elle, un intervenant demandait si des camarades de sa promotion étaient dans la salle : cela tombait bien, il était de mon année.
Un élève m’abordait pour me proposer de faire une mini-interview pour le besoin de l’évènement. J’ai réussi à la caler en fin de journée avec des jeunes très professionnels qui me donnaient les recommandations d’avant prise. J’espère avoir donné les bonnes réponses.
Arrivait en fin de matinée, le moment de découvrir la nouvelle fresque. Elle se trouve maintenant derrière les bureaux de l’accueil dans un contexte plus intime. Chaque nom figure en lettre blanche sur fond vert. Elle est à hauteur d’homme et il suffit de quelques secondes pour retrouver son propre nom puis ensuite découvrir les camarades de sa promotion. Dans ce même coin, se trouve toute une histoire, de l’école bien sûr, mais aussi des grandes avancées techniques (l’invention de l’hélicoptère par exemple) mais des photos de grands hommes, de TESLA (par exemple, dont le nom a été repris pour une marque de voiture électrique, mais que d’inventions de sa part) et puis plus près nous et parce que l’avons connu, une photo de Raymond CHALEAT.
La pause survenait avec un buffet copieux. Encore des visages connus que l’on retrouvait, mais si peu de camarades de ma promotion, quelques professeurs que l’on abordait avec plaisir mais qui ne se souvenaient pas toujours.